Au cours d'une séance de sophrologie, le sophrologue tient le rôle d'un animateur, le temps de la pratique et des échanges au début et à la fin. Le sophrologue est un praticien qui se doit de respecter la confidentialité. De plus, il ne juge pas.

La Chambre Syndicale de la Sophrologie explique que le sophrologue suit un code de déontologie qui définit son périmètre d'intervention et les limites de sa pratique. Par exemple, ce code interdit à un sophrologue de prescrire un médicament ou encore de poser un diagnostic médical.

Quelles sont les limites de la sophrologie ?

L’objectif de la sophrologie est de vous rendre autonome, libre, et instigateur de nouvelles solutions pour notre santé et notre vie au quotidien. Le sophrologue n'est pas un professionnel de la santé. C'est un thérapeute qui ne se substitue pas à un médecin. Mais le sophrologue n'est pas non plus un magicien, ni un marabout.

La sophrologie peut être pratiquée par quasiment tout le monde. Celui qui le pratique doit, en général, respecter une démarche d'engagement vis-à-vis du sophrologue. Même les plus sceptiques qui ne croient qu'à moitié aux bienfaits de la sophrologie.

La sophrologie n'est pas une méthode qui se substitue à un traitement à base de médicaments. Elle ne vise pas à soigner les maladies. C'est la raison pour laquelle le sophrologue ne doit pas poser de diagnostic médical et encore moins faire de la prescription.